Logo du site
Corte mise en regards |

6- M.C ESCHER. Corte, vue du vieux Pont

Dans cette catégorie : Le concept | 1- M.C ESCHER. Corte, Place d'armes | Corte : le regard d'Emile Appay | Corte : le regard de Pierre Bach | 2- Albert DECARIS, Maison Bonaparte | Corte : le regard de Jean-Baptiste Bassoul | 3- Raymond DEPARDON. Rue de l'Eglise | Corte : le regard d'Yves Brayer | 4- M-C ESCHER. Eglise de l'Annonciation | Corte : le regard d'Emile Breteau | 5- M-C ESCHER. Corte, vieille maison | Corte : le regard de Léon Canniccioni | Corte : le regard de Jean Chièze | 7- Alfred William HUNT. Corte, vue de la citadelle | Corte : le regard de Edward Theodore Compton | 8- Suzanne VALADON. Paysage de Corte | 9- M. UTRILLO, Rue à Corte | Corte : le regard d'Yvon Dieulafé | Corte : le regard de Mary Dawson Elwell | 10- Raymond DEPARDON. Place Padoue | 11- Roland BONAPARTE. Fontaine dans Corte | Corte : le regard de José Fabri-Canti | Corte : le regard de Dominique Frassati | 12- Albert DECARIS. Place du Palazzu | 13- Roland BONAPARTE, Corte : la montée de la Citadelle | Corte : le regard de Jeanne Cimiterra-Fratoni | Corte : le regard d'Yvonne Jean-Haffen | Corte : le regard de Jean-Jérôme Levie | Corte : le regard de John Minton | Corte : le regard de Friedrich Nietzsche | Corte : le regard de Francis Picabia | Corte : le regard de Salvatore Piromalli | Corte : le regard de Jean-Claude Quilicci | Corte : le regard de René Frédéric Ricard | Corte : le regard d'Anne-Charlotte de Schönberg | Corte : le regard de Ferdinand Michel Storelli | Corte : le regard d'André Strauss | Corte : le regard d'André Utter |

 

Maurits Cornelis ESCHER (1898 - 1972) | Corte, Corsica, 1928 | Dessin à l'encre de Chine et au crayon sur papier, 51,5 x 64,5 cm

 

Maurits Cornelis Escher est un artiste néerlandais mondialement connu pour ses gravures sur bois et lithographies souvent inspirées des mathématiques. Elles représentent des constructions impossibles, des explorations de l'infini, des combinaisons de motifs qui se transforment graduellement en des formes totalement différentes. Son œuvre représente des espaces paradoxaux qui défient nos modes habituels de représentation. Pourtant, lorsqu’il se rend en Corse à la fin des années 1920 et au début des années 30, il redevient un observateur attentif du paysage urbain. Ses vues de Corte l’attestent bien.

" Au cours de mes pérégrinations, tout autour de moi semble réel. Mais plus tard, quand je reconstruis les images dans ma tête, je réalise que c'était comme un rêve ; quand je repense maintenant à ce que j'ai rencontré en Corse ce printemps, je me souviens d'un son vif, une odeur, un état d'esprit et je suis submergé par l'émotion ". (M.C Escher, Lettre à Bas Kist, 1928)

Page mise à jour le 19/09/2020 par JEAN-JOSEPH ALBERTINI